Le mot du président
Bonjour à toutes et à tous,
Nous voici déjà en mars 2019 et il n’est pas trop tard pour que nous nous souhaitions une bonne santé.
Manifestement les responsables de l’UGECAM de Chantepie n’ont pas la même approche du mot santé que les malades du Parkinson.
En effet, L’Union pour la Gestion des Établissements des Caisses d’Assurance Maladie « UGECAM » vient de licencier les deux praticiens neurologues sans préavis, et surtout sans avoir au préalable pourvu à leurs remplacements.
En conséquence, plus d’une centaine de Parkinsoniens suivis par la structure de Chantepie se sont retrouvés en rupture de soins et sans préavis médical.
Comme vous pouvez l’imaginer il ne s’agit pas d’un licenciement pour manquement professionnel.
Certains d’entre nous dont le rédacteur de la présente n’avaient qu’à se féliciter du professionnalisme d’Isabelle Rivier par exemple. Il s’agirait plutôt d’un motif économique, motif qui parait étonnant car la direction de l’UGECAM promettait de pourvoir à leur remplacement, ce qui en termes d’économie n’est pas justifiable.
EN CONCLUSION, le courrier d’apaisement que j’ai reçu de la direction de l’UGECAM en ma qualité de président d’association se révèle nul et sans effet.
Daté de novembre 2018, il promettait le remplacement de deux neurologues afin d’assurer la continuité des soins.
Heureusement que grâce au suivi de nos relations, nous avons poursuivi le lien qui nous unissait avec les praticiens objet des foudres de l’UGECAM.
Cette affaire est actuellement entre les mains de la justice prud’homale
Yves BOCCOU, Président